1. Drizzt est un elfe noir, un drow, né en Outreterre, un monde
souterrain où abondent les créatures maléfiques et où le pouvoir s'obtient par
la guerre ou le meurtre. L'honneur, l'amitié, l'amour n'y ont pas leur place.
Drizzt y fait le rude apprentissage d'une vie de servitude au sein d'une
société où chaque maison est dirigée par une matrone.
Bien qu'il ait été élevé dans un système de valeurs
totalement perverti et qu'il soit rompu à l'art du combat, Drizzt prend peu à
peu conscience qu'il n'est pas comme les autres drows. Il aspire à une vie
différente et refuse de devenir un assassin au service de sa maison. Mais il
sait que, s'il veut survivre, il doit dissimuler et peut-être nier sa véritable
nature.
Jusqu'au jour où cela ne suffira plus. Et ce jour-là, Drizzt
devra se battre seul contre tous.
2. Drizzt a quitté Menzoberranzan, sa ville natale, pour gagner
les contrées sauvages de l’Outreterre. C’est le début pour lui d’une vie
d’errance et de traque. Car Drizzt doit devenir un chasseur s’il veut prendre
le dessus sur les créatures qui rôdent dans les profondeurs. Il peut
heureusement compter sur l’aide de Guenhwyvar, sa fidèle panthère magique. Mais
le jeune elfe noir n’est pas seulement confronté à la sauvagerie de contrées
hostiles, il doit aussi faire face à une menace bien plus ancienne : sa famille
ne l’a pas oublié et sa mère, la maléfique Matrone Malice, tient à resserrer
les liens du sang jusqu’à ce que mort
s’ensuive.
Mon Avis
L'histoire commence la nuit de la naissance de Drizzt. Une attaque contre une autre Maison est orchestrée par les Do'Urden.
J'ai trouvé que l'histoire était un peu longue à partir. Malgré tout, on entre dans un monde assez particulier régit par les femmes. C'est un concept que l'on est pas vraiment habituer à voir, ce qui donne l'originalité à cette oeuvre. Les êtres que sont les Drow sont tout à fait fascinant. Ils ont tellement sombres que c'en ait captivant. Bien souvent, des frissons me transperçaient et je n'avais envie que de trucider quelques Drow.
J'aime bien l'idée de suivre Drizzt, notre héros, tout au long de son enfance, car on «assiste à sa naissance». On voit ainsi comment évolue sa psychologie, ses relations avec les autres, mais surtout avec Zaknafein (Zak). Leur relation, qui évolue au fils du roman, devient très touchante.
Par contre, le fait que seul le personnage principal, soit Drizzt (et Zak), est différent des autres et développe une autre mentalité est quelque chose d'un peu «cliché». Je dirais que l'on voit ce «phénomène» dans de nombreux livres. De plus, Drizzt c'en sort toujours gagnant, même si «c'est par la peau des fesses». C'est comme s'il frisait l'invincibilité. Voilà peut-être les points décevant de ces deux premiers tome.
J'ai quand même apprécié cette lecture. C'est malgré tout très agréable à lire. J'ai passé un bon moment à lire ce livre et vais surement m'embarquer dans le prochain tome.
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